Tags
Related Posts
Share This
« is online now » – dj guest’ 02
1. Eliot Lipp – Glasspipe. Très rares sont les disques d’instrus aussi passionnants que son « Tackoma Mockingbird ».
2. Cyne – Moonlight. Classique mais efficace.
3. Dabrye – Jorgy. Electronique, hardtech ou rap : mais comment fait Tadd Mullinix pour toucher à tout et tout réussir ?
4. Shackleton – Blood on my hands. Squelettique et hypnotique.
5. Moodyman – Roberta Jean Machine. Soulful house.
6. Dub in a nutshell ft. Paul St Hilaire – You never know. Tikiman a toujours quelques vérités bonnes à dire en réserve, alors tout le monde l’invite, et ça hybride les genres…
7. Dntel – Evan and Chan (Superpitcher remix). Projet électronique du type derrière The Postal Service, qui n’avait pas attendu de toucher le jackpot pour innover, et se payer un remix du superclasse allemand.
8. New Order – Thieves like us. Avec ce titre (8’49’’) j’ai enfin compris pourquoi des journalistes écrivaient que l’europop aurait influencé les originators de la techno de Detroit.
9. Studio – No comply. Les recettes pop dancefloor revisitées vingt ans après.
10. Bark Psychosis – Blue. Morceau peu représentatif d’un groupe extraordinaire.
11. Disco Inferno – At the end of the line. Pareil.
12. Paavoharju – Valo Tihkuu Kaiken Läpi. Tout est dans le titre.
13. Smog – Justice aversion. Bill Callahan a écrit ce morceau bien avant que “Do the D.A.N.C.E.” ne cartonne. Rien à voir, donc.
14. Benoît Pioulard – Triggering back. Enfin quelqu’un dans cette liste qui s’expose sans pseudo ? Même pas, mais ça fait très « vrai nom ».
15. Talk Talk – I believe in you. Il y a un au-delà aux pubs « 205 GTI » (souvenez-vous, un désert, un cœur : Such a shame !) : la preuve en deux albums sublimes, Spirit of Eden ici, puis Laughing Stock.
16. Michael Andrews – F***. Tout est dans le titre, et dans la BO de « Me and You and Everyone We Know ».
17. Gordon Lightfoot – Beautiful.
Le shakleton est complètement fascinant.
Et aussi, j’aimerais bien savoir qui c’est Gordon Lightfoot.
…D’après les informations récoltées, Gordon Lightfoot est un folkeux canadien qui a commencé à avoir un petit succès à partir des années 1970, après avoir écrit pour d’autres. Une quinzaine d’albums durant cette période, et il n’a pas arrêté depuis. Bizarrement cette chanson là ne se trouve que sur une compilation (pas trouvé trace dans sa pleïade d’albums), et sur la BO de « The brown bunny » de Vincent Gallo – je l’avais entendu la 1ère fois au cinoche ça m’avait marqué. J’avais d’ailleurs hésité avec une autre merveille sur cette même cette BO : « Milk and honey » de Jason C. Frank (un peu le même profil, côté années 1960), si ça te dit.